L’amour est dans le pré saison 20 : Deux agriculteurs évincés, une édition pleine de surprises et d’émotions

L’amour dans les champs, mais pas sans obstacles : la saison 20 de « L’amour est dans le pré » démarre sur une note douce-amère

Vous pensiez que la quête du grand amour à la campagne, c’était simple, solaire et joyeux ? Détrompez-vous. Cette 20e saison de « L’amour est dans le pré », la mythique émission de M6, commence avec son lot d’espoirs mais aussi de déceptions qui donnent un relief inattendu à cette aventure rurale tant suivie. Alors que Karine Le Marchand, fidèle capitaine de cette odyssée sentimentale, dévoile des portraits touchants et authentiques d’agriculteurs prêts à tout pour l’âme sœur, un lourd secret sort des coulisses : deux candidats, pourtant sélectionnés avec tendresse, ont dû abandonner la course à l’amour faute d’avoir reçu ne serait-ce qu’une lettre d’admiratrice…

Vous êtes curieux de savoir ce qui a cloché, comment on peut se retrouver oublié malgré sa bonne volonté, et ce que cette exclusion dit sur notre société moderne ? Je vous embarque dans ce nouvel épisode riche en émotions, rencontres et paradoxes humains. Parce qu’à travers ces agriculteurs, c’est une tranche de notre vie à tous qui se joue, entre espoirs fragiles, rejets brutaux, et le désir universel de trouver celle ou celui qui nous comprendra vraiment.

20 ans de l’Amour est dans le pré : entre tradition et modernité, l’émission qui réunit des cœurs battants

Une émission-choc aux racines profondes

Depuis 2005, « L’amour est dans le pré » est bien plus qu’un simple programme de télé réalité : c’est un phénomène générateur d’émotions sincères, une fenêtre ouverte sur ces métiers méconnus de la terre, des hommes et des femmes passionnés bien souvent isolés, qui rêvent d’un soutien affectif aussi solide que leurs cultures. Qu’on aime ou pas, impossible de nier que cette émission a bousculé les codes du dating en offrant une mise en lumière authentique d’un pan sensible de la société.

Chaque année, Karine Le Marchand incarne avec émotion la messagère du destin de ces agriculteurs pas comme les autres. À travers des portraits soigneusement tournés, elle leur tend la main pour tenter d’apporter parfois une bouffée d’air frais, une étincelle d’amour, dans leurs vies résolument rudes et concrètes. Le 11 août 2025, le rideau se lève donc sur cette édition anniversaire, éclatante de sincérité et d’humanité – jusqu’au point d’en laisser certains s’effacer dans l’ombre.

La douloureuse réalité des deux évictions surprises

Alors que le casting officiel promettait quinze personnages prêts à faire vibrer les écrans, seuls treize auront l’honneur de fouler les terres de l’amour diffusé. Pourquoi cette malencontreuse sélection réduite ? Le cœur de l’affaire tient dans un ressort cruel : l’absence de courrier.

Antoine, un Vosgien de 46 ans au charme discret, connu par les fidèles depuis des mois grâce aux aperçus des portraits, n’a reçu… aucun message d’amour ! Ni lettre timbrée, ni mail romantique. Pourtant, il a tout mis en œuvre pour susciter la curiosité, multiplant les appels à la communauté télé depuis le tournage en février-avril 2025 jusqu’à une ultime relance en mai. En vain.

Mais ce cas n’est pas isolé. Un deuxième participant, dont le nom reste mystérieusement secret jusqu’à la diffusion, se retrouve dans la même impasse. À peine une lettre reçue, livrée à la hâte, riant aux portes du speed-dating organisé expressément par la production. Malheureusement, la rencontre n’a pas suffi à créer la magie demandée.

« On a deux participants qui sont sortis. Ce qu’il s’est passé, c’est qu’il y en a un qui n’a pas eu du tout de courrier. Au départ, il y en avait deux, mais il y en a pour qui une lettre est arrivée peut-être deux jours avant, donc on l’a quand même fait venir et on lui a fait directement rencontrer la personne pendant le speed-dating. Mais ça ne l’a pas fait, donc il est sorti… », explique Karine Le Marchand.

Un silence respectueux entoure la seconde étape de la disparition du candidat, respect difficile à maintenir tant la curiosité bruisse déjà parmi les fans impatients de découvrir ces nouveaux profils – tandis que l’ombre d’une déception palpable plane précocement sur la saison 20.

Qui sont ces agriculteurs d’exception si recherchés qu’ils méritent une chance envers et contre tout ?

Heureusement, le tableau n’est pas noir pour tous. La production et Karine insistent sur une vérité joyeuse : la saison regorge de personnalités « exquis » selon leurs termes, des hommes et femmes qui respirent la gratitude et la gentillesse, unies par une tessiture de respect mutuel qui émane du premier contact.

Voici qui compose ce fier bataillon d’amour printanier 2025 :

• Éric, exploitant dans le Lot, adolescent éternel au cœur tendre qui cherche la douceur après une vie de travail acharné.
• Marine, la volubile éleveuse du sud, dont le rire est une musique légère pour illuminer le quotidien des siens.
• Laurent et Franck, deux compères envisagent ensemble l’esprit de famille renouvelé malgré leurs parcours de vie parfois contrastés.
• Mais aussi des profils discrets, souvent à fleur de peau, à la recherche de complicité vraie et durable, hommes et femmes pour qui la campagne appartient aussi aux rêveurs…

Karine Le Marchand elle-même décrit sa troupe comme un “groupe uni d’électrons libres et complices” qui devrait insuffler à cette saison un souffle inédit, très rafraîchissant.

Mieux comprendre l’absence de courrier : un signe des temps ?

Il est fascinant – et glaçant – de constater qu’en 2025, dans un programme produit par un mastodonte de la télévision française, la vaseline du net et des messages reçus crée encore des disparités visibles. À une époque où l’on pourrait imaginer un flot continuel d’attentions, avec les réseaux, les applications et les forums dédiés, comment deux agriculteurs en quête d’amour – éprouvés, sincères et exposés – peuvent-ils se retrouver oubliés ?

Un phénomène qui invite à méditer. Nous vivons dans une époque d’exposition souvent superficielle, où les échanges en masse remplacent parfois la vraie attention. Pour le téléspectateur lambda, ce détail cruel prouve que l’émotion et la décision dépendent encore d’un effort collectif, d’une bienveillance active qu’il faut cultiver.

De plus, une campagne rurale parfois isolée offre moins d’intimité numérique, moins d’impact médiatique direct, ce qui explique aussi que leurs voix ne portent pas aussi loin que celles de profils plus exposés. Sans parler des enjeux psychologiques d’un agriculteur qui s’auto-expose de bon cœur devant millions de Français réunis devant leur écran.

Mais l’émission ne laisse personne sur le bord du chemin : à quoi s’attendre cette saison ?

Parce que le cœur bat toujours plus fort lorsqu’il est soupçonné transmis d’espérance, “L’amour est dans le pré” promet, cette année encore, de lever le voile sur une aventure autant humaine que télévisuelle.

Attendez-vous à :

• Des moments de complicité authentiques, où pas un mot ni une expression ne sont laissés au hasard parmi ces 13 figures ointes d’espoir.
• Des instants d’émotion palpable capturés avec empathie et réalisme par le caméraman qui connaît chaque sentier, chaque grain de terre qui accompagne ces vies atypiques.
• Des surprises, certes, mais surtout une honnêteté déconcertante dans la découverte des profils comme des débats intimes, faisant de chaque épisode un potentiel miroir.
• Une communauté virtuelle et réelle enflammée, car au-delà des frontières du petit écran, ce sont des milliers de fans, d’amis, et d’anciens candidats qui nourrissent cette aventure généreuse.

Ce que cette saison nous apprend – En résumé

Conclusion : L’amour se cultive dans toutes les terres, même les plus arides

Alors oui, cette vingtième saison s’ouvre avec un coup de tonnerre, qui dérange et chasse toute illusion de facilité. Deux candidats peinent à nommer l’amour alors que tant espèrent leur réussite. Mais cela laisse surtout place à une fresque plus vraie, respectueuse des joies comme des déceptions que traverse parfois la vie sentimentale. 13 destins s’ouvrent sur l’espoir, porteurs d’histoires prêtes à toucher notre corde sensible, à réveiller nos propres urgences à aimer et être aimés.

Vous, qui vous apprêtez à suivre ces fauchés du cœur, attendez-vous à une saison 2025 bien plus humaine, rude parfois, douce souvent, et indubitablement vibrante. Mercredi 11 août, allumez votre télévision ou votre appli préférée et dégainez les poignées de mouchoirs : les surprises ne manqueront pas, mais au bout du compte, ce sera toujours cette quête indispensable et fédératrice qui triomphera.

Vous êtes prêts ? Parce qu’au bout du pré, il y a peut-être votre reflet, votre rêve, votre avenir…